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Essai de lunettes
basse vision
Qui est concerné ?
En France, environ 1,5 million de personnes souffrent de basse vision selon la définition de l’OMS (acuité < 3/10). 15 % de la population présente une acuité visuelle inférieure à 6/10, même corrigée — un seuil qui rend la lecture et les gestes du quotidien difficiles.
Définition et détection
La basse vision (ou malvoyance) désigne une acuité visuelle inférieure à 3/10 et supérieure à 1/20, selon les catégories 1 et 2 de l’OMS. Elle ne peut pas être corrigée par des lunettes classiques ou une chirurgie. La détection se fait par des examens optiques spécialisés, réalisés par des professionnels de santé visuelle.
Focus sur les enfants
La déficience visuelle chez l’enfant est souvent congénitale (0,5 à 2 pour 1000 dans le monde).

En France : Prévalence de la malvoyance : 0,59 à 0,8/1000, Cécité : 0,28/1000 chez les moins de 1 an, 1 % des enfants de moins de 6 ans sont malvoyants (70 % héréditaire, 30 % acquis)

Conséquences : retard cognitif, social, moteur, émotionnel, langage.

Causes fréquentes : infections pendant la grossesse, glaucome, cataracte, leucocorie, albinisme…

Dépistage précoce essentiel : la vision se développe jusqu’à 10 ans.
Une prise en charge rapide permet une meilleure adaptation et accompagnement.
L’association Faire Ça Voir
Fondée par Ted Carret, l’association Faire Ça Voir agit depuis plus de 20 ans pour une meilleure prise en charge des déficiences visuelles. Elle collabore avec des opticiens experts en basse vision.
Solutions disponibles sur le marché
Des lunettes connectées, des GPS vibrants, des Filtres thérapeutiques sont quelques solutions existantes pour les personnes qui font face à une vision fragile. Fonda propose de nombreuse solution optiques spécialisées.